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L’Aqueduc Romain du Gier

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À Propos de l'auteur

MARIN TERRIBLE

Marin Terrible, né le 22 octobre 1958 à Nancy, est issu d'une famille d'ingénieurs et d'enseignants. Dès son adolescence, il développe un goût pour les voyages et l'exploration du monde, malgré des difficultés de santé qui compliquent sa scolarité. Sa passion pour l'archéologie des aqueducs du Gier naît durant ses années de lycée à Lyon, où il est influencé par son professeur Jean Burdy agrégé de sciences physiques et auteur d'une thèse sur les aqueducs romains de Lyon. Paralellement, il s'investit dans plusieurs domaines, notamment les biotechnologies, l'agro-industrie, l'immobilier, et travaille pour divers ministères et entreprises, dont la Défense nationale et l'Éducation nationale. Passionné par la photographie et l'histoire, Marin Terrible se lance dans la recherche iconographique de l'Aqueduc du Gier en 2017. Aujourd'hui il continue ses recherches sur l'Aqueduc du Gier tout en s'investissant dans l'éducation de sa fille Éline, âgée de 3 ans. Marin Terrible a été honoré de plusieurs distinctions, dont le titre de Chevalier de l'ordre national du Mérite pour ses activités au sein de la Défense nationale, la Médaille de Vermeil des Services Militaires Volontaires, et le 1er Prix du Conseil Général du Puy-de-Dôme pour ses travaux sur l'amélioration des viandes de volaille.

Au 1er siècle de notre ère, un édifice imposant illumine le paysage rural de Lyon de ses teintes de brique et de blanc. S’étirant sur 70 kilomètres depuis la source du Gier dans la Loire, l’Aqueduc du Gier voit le jour sous le règne de l’empereur romain Adrien (76-138). Cet ouvrage monumental, le plus long parmi les cinq aqueducs approvisionnant en eau les fontaines et la cité gallo-romaine de Lugdunum, prend vie.

Près de 2 000 ans plus tard, le flux d’eau a cessé dans le Canal en tuileau du Gier. Néanmoins, à Chaponost près de Lyon, 72 arches témoignent encore de son histoire. Résistant à l’épreuve du temps et aux dommages causés par l’homme, l’Aqueduc du Gier a survécu à travers les siècles.

Le 19e siècle a vu l’École lyonnaise de peinture ainsi que les Académies des sciences et des Beaux-Arts promouvoir activement cet ouvrage remarquable, contribuant ainsi à son héritage artistique.

Depuis la chute de la monarchie, les artistes ont exprimé librement leurs émotions, souvent influencés par des voyages en Italie et en Méditerranée. La lithographie est devenue populaire, tandis que la photographie a enrichi les moyens de représenter les vestiges de cet aqueduc.

Des architectes, peintres, graveurs, ingénieurs et photographes ont ainsi contribué à perpétuer la beauté majestueuse de cet héritage.

Dimensions 240 × 240 × 20 cm